qu'est-ce que le profilage d'ADN?
Le profilage d’ADN est une technique sensitive employée par les médecins légistes, des scientistes qui utilisent une méthode scientifique de rassembler et examiner de l’information du passé qui est ensuite utilisé dans la cours de justice, pour identifier les gens par leurs caractéristiques d’ADN. Cette technique a seulement besoin de quelques cellules de peau, de cheveux, d’une petite quantité de sang ou même de la salive pour identifier une personne. Le profilage d’ADN est spécialement utilisé pour identifier un suspect pour résoudre un crime, mais elle peut aussi être utilisée pour affirmer si les gens sont reliés biologiquement les uns aux autres, comme par exemple avec les tests de paternité.
COMMENT LA POLICE UTILISE-T-ELLE L'ADN POUR RETROUVER UN CRIMINEL?
Premièrement il faut collecter un échantillon sur la scène de crime et y extraire l’ADN. Seule une petite quantité d’ADN peut construire un profile d’ADN de cet échantillon. Même de la salive sur une paille peut faire la job.
Ensuite, les scientistes utilisent une technique puissante appelée la Réaction en Chaîne par Polymérase (RCP) pour faire des millions de copies de régions d’ADN révélateurs de l’échantillon. En particulier, ils se concentrent sur des régions nommées séquences microsatellites. Ces régions sont composées d’une séquence d’ADN formée par de plusieurs répétitions de motifs composés de quelques nucléotides. Ce qui rend ces régions révélateurs est que le nombre de fois qu’il y a des répétitions varie grandement d’une personne à l’autre. Dans les enquêtes criminelles, 13 de ces régions de séquences microsatellites, situés tous dans l’ADN non-codant entre nos gènes, sont analysés pour le nombre d’unités répétées qu’ils contiennent.
Troisièmement, il faut compter le nombre de répétitions. Durant la RPC, un colorant fluorescent s’attache à toutes les copies de séquences microsatellites, un type de colorant pour chaque région, pour que toutes les copies d’ADN d’une région donnée puissent être distinguées des autres du mélange. Les scientistes courent le mélange à travers une machine d’électrophorèse capillaire, qui sépare les différents fragments d’ADN par leur taille. À partir d’ici, c’est plutôt facile à calculer la longueur de chaque région de séquences microsatellites et, ensuite, le nombre d’unités répétitives de chaque site.
Finalement, on cherche un match. Pour condamner un suspect, il faut que sa répétition de séquences microsatellites corresponde à celles retrouvés à la scène du crime, dans toutes les 13 régions de séquences microsatellites. Lorsqu’elles sont toutes un match, il est garanti que vous avez retrouvé le coupable. Il y a une chance sur un milliard qu’on doigte la mauvaise personne.
Ensuite, les scientistes utilisent une technique puissante appelée la Réaction en Chaîne par Polymérase (RCP) pour faire des millions de copies de régions d’ADN révélateurs de l’échantillon. En particulier, ils se concentrent sur des régions nommées séquences microsatellites. Ces régions sont composées d’une séquence d’ADN formée par de plusieurs répétitions de motifs composés de quelques nucléotides. Ce qui rend ces régions révélateurs est que le nombre de fois qu’il y a des répétitions varie grandement d’une personne à l’autre. Dans les enquêtes criminelles, 13 de ces régions de séquences microsatellites, situés tous dans l’ADN non-codant entre nos gènes, sont analysés pour le nombre d’unités répétées qu’ils contiennent.
Troisièmement, il faut compter le nombre de répétitions. Durant la RPC, un colorant fluorescent s’attache à toutes les copies de séquences microsatellites, un type de colorant pour chaque région, pour que toutes les copies d’ADN d’une région donnée puissent être distinguées des autres du mélange. Les scientistes courent le mélange à travers une machine d’électrophorèse capillaire, qui sépare les différents fragments d’ADN par leur taille. À partir d’ici, c’est plutôt facile à calculer la longueur de chaque région de séquences microsatellites et, ensuite, le nombre d’unités répétitives de chaque site.
Finalement, on cherche un match. Pour condamner un suspect, il faut que sa répétition de séquences microsatellites corresponde à celles retrouvés à la scène du crime, dans toutes les 13 régions de séquences microsatellites. Lorsqu’elles sont toutes un match, il est garanti que vous avez retrouvé le coupable. Il y a une chance sur un milliard qu’on doigte la mauvaise personne.
QUELS SONT LES MÉTHODES DE PROFILAGE D'ADN LES PLUS COMMUNES?
Dans le domaine du profilage d’ADN, plusieurs méthodes sont utilisé pour aider à identifier un suspect ou même dans les tests de paternité. La méthode de profilage d’ADN la plus commune est celle précédemment mentionnée, la Réaction en Chaîne par Polymérase. Cette méthode a été un grand progrès dans ce domaine en augmentant le taux de succès de l’analyse de l’ADN. La Réaction en Chaîne par Polymérase a permit aux investigateurs d’analyser des échantillons d’ADN qu’ils ne pouvaient pas au paravent à cause de la qualité ou de la quantité insuffisante pour les techniques précédentes d’analyse d’ADN. Comme cela a été mentionné précédemment, ce procès fonctionne ne prenant des petites quantités d’ADN et en faire des millions de copies. Cela va ensuite créer assez d’ADN pour que l’analyste de laboratoire crée un profile d’ADN. Un groupe de 13 différentes régions va être utilisé pour l’analyse des échantillons et générer des profiles d’ADN sur les délinquants condamnés pour CODIS, un fichier ADN structuré à partir d’échantillons d’ADN servant à la police scientifique pour aider à identifier un suspect par son ADN.
Une autre technique utilisée est le polymorphisme de longueur des fragments de restriction, ou RFLP. Cette technique a besoin d’un échantillon contenant 100 000 cellules ou plus et contenant de l’ADN fraîche et non-brisé. RFLP est une technique qui utilise des variations des séquences d’ADN homologues. Cette technique utilise des enzymes (une macromolécule qui facilite une réaction chimique sans modifier le produit) pour cibler des courtes séquences d’ADN et de couper le génome en morceaux. RFLP, utilisé depuis les années 1980, est capable d’exclure les suspects accusés à tort grâce à l’information qu’elle contient. Cette technique est utilisée dans les procès d’empreintes digitales ou dans les tests de paternité.
Une autre technique utilisée est le polymorphisme de longueur des fragments de restriction, ou RFLP. Cette technique a besoin d’un échantillon contenant 100 000 cellules ou plus et contenant de l’ADN fraîche et non-brisé. RFLP est une technique qui utilise des variations des séquences d’ADN homologues. Cette technique utilise des enzymes (une macromolécule qui facilite une réaction chimique sans modifier le produit) pour cibler des courtes séquences d’ADN et de couper le génome en morceaux. RFLP, utilisé depuis les années 1980, est capable d’exclure les suspects accusés à tort grâce à l’information qu’elle contient. Cette technique est utilisée dans les procès d’empreintes digitales ou dans les tests de paternité.