L'histoire de l'ADN
Finalement, en 1953, généticien et biochimiste américain James Watson et Francis Crick, un biologiste britannique, découvre la structure en double hélice de l’ADN. Ils ont pu faire cette découverte grâce à la technique de diffraction des rayons X sur des cristaux de l’ADN. Cette technique consiste de faire rencontrer un cristal avec un faisceau de rayons X; cela provoque la dispersion du faisceau lumineux dans des directions précises. Ensuite, on mesure les angles et l’intensité des rayons réfractés utilisant un diffractomètre qui nous aidera à obtenir l’image tridimensionnelle de la densité électronique dans le cristal. À partir de cette densité on peut découvrir d’autres informations comme les liaisons chimiques du cristal.
LE DÉVELOPPEMENT DES EMPREINTES DIGITALES
Bien que l’ADN a d’abord été découverte en 1869, les expériences avec des tests d’ADN et des empreintes génétiques n’ont pas été introduites que depuis 30 ans. Ainsi, faisant le profilage d’ADN et les empreintes digitales relativement moderne dans le domaine de la science judiciaire.
Historiquement, l'analyse d'identité dans le domaine judiciaire a commencé par l'analyse du système de groupe sanguin A, B et O. Ensuite, elle a été basée sur différentes protéines et sur des enzymes de globules rouges. Finalement, le système de l'antigène de leucocyte humain (le locus des gènes qui sont responsables de la régulation du système immunitaire dans les humains) a été utilisé avant que nous avions atteint l’année 1985. En 1985, le généticien Alec Jeffreys a découvert des techniques qui utilisent des empreintes génétiques et a développé des techniques pour le profilage de l’ADN.
Autour de 1985, le docteur Alec Jeffreys a été concentré principalement sur des méthodes qui résolvaient des disputes d’immigration et de paternité à l’Université de Leicester en Grande-Bretagne. Il essayait de faire cela en démontrant des liens génétiques entre les individus. Il a utilisé « Polymorphisme de Longueur des Fragments de Restriction » (RFLP) pour analyser l’ADN. C’était une des premières techniques du profilage de l’ADN, mais elle n’est pas trop utilisée aujourd’hui. En utilisant ceci, Alec Jeffreys a découvert des motifs répétitifs d’ADN présent chez tous les humains, mais chaque motif diffère en longueur pour chaque individu. Après, il a réalisé la possibilité des empreintes génétiques qui utilisent des variations dans le code génétique pour identifier les individus. L’empreinte génétique est spécifique à chaque personne et ce motif ne peut pas appartenir à quelqu’un d’autre, sauf si vous avez un jumeau identique. De plus en 1987, Alec Jeffreys a pu développer le premier profil d’ADN. Ce profil a utilisé des morceaux d’ADN d’endroits sélectionnés sur les chromosomes d’une personne. Les répétitions de l’ADN sur ces endroits sont comptées. Cela produit un groupe de nombres qui devient l’identificateur d’une personne.
L’ADN était utilisé pour aider une enquête criminelle premièrement par Alec Jeffreys en 1986. L’enquête a utilisé des empreintes digitales pour relier des échantillons de taches de sperme qui ont été collecté de deux meurtres/viols qui se sont arrivés en 1983 et en 1986. Le résultat de ceci a lié les deux crimes et a aidé à condamner le criminel nommé Colin Pitchfork.
Depuis la découverte d’Alec Jeffreys, les empreintes digitales et le profilage de l’ADN a aidé à condamner un très grand nombre de criminels, à aider à libérer plusieurs personnes innocentes et a aidé à révolutionner la science et la justice criminel.
Historiquement, l'analyse d'identité dans le domaine judiciaire a commencé par l'analyse du système de groupe sanguin A, B et O. Ensuite, elle a été basée sur différentes protéines et sur des enzymes de globules rouges. Finalement, le système de l'antigène de leucocyte humain (le locus des gènes qui sont responsables de la régulation du système immunitaire dans les humains) a été utilisé avant que nous avions atteint l’année 1985. En 1985, le généticien Alec Jeffreys a découvert des techniques qui utilisent des empreintes génétiques et a développé des techniques pour le profilage de l’ADN.
Autour de 1985, le docteur Alec Jeffreys a été concentré principalement sur des méthodes qui résolvaient des disputes d’immigration et de paternité à l’Université de Leicester en Grande-Bretagne. Il essayait de faire cela en démontrant des liens génétiques entre les individus. Il a utilisé « Polymorphisme de Longueur des Fragments de Restriction » (RFLP) pour analyser l’ADN. C’était une des premières techniques du profilage de l’ADN, mais elle n’est pas trop utilisée aujourd’hui. En utilisant ceci, Alec Jeffreys a découvert des motifs répétitifs d’ADN présent chez tous les humains, mais chaque motif diffère en longueur pour chaque individu. Après, il a réalisé la possibilité des empreintes génétiques qui utilisent des variations dans le code génétique pour identifier les individus. L’empreinte génétique est spécifique à chaque personne et ce motif ne peut pas appartenir à quelqu’un d’autre, sauf si vous avez un jumeau identique. De plus en 1987, Alec Jeffreys a pu développer le premier profil d’ADN. Ce profil a utilisé des morceaux d’ADN d’endroits sélectionnés sur les chromosomes d’une personne. Les répétitions de l’ADN sur ces endroits sont comptées. Cela produit un groupe de nombres qui devient l’identificateur d’une personne.
L’ADN était utilisé pour aider une enquête criminelle premièrement par Alec Jeffreys en 1986. L’enquête a utilisé des empreintes digitales pour relier des échantillons de taches de sperme qui ont été collecté de deux meurtres/viols qui se sont arrivés en 1983 et en 1986. Le résultat de ceci a lié les deux crimes et a aidé à condamner le criminel nommé Colin Pitchfork.
Depuis la découverte d’Alec Jeffreys, les empreintes digitales et le profilage de l’ADN a aidé à condamner un très grand nombre de criminels, à aider à libérer plusieurs personnes innocentes et a aidé à révolutionner la science et la justice criminel.